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19 Mar

Mon permis motocyclette...

Publié par Triplespeed  - Catégories :  #Permis de conduire

Jeune cyclomotoriste à la date de cet éditorial, écrit par Christian Rey pour la Revue Moto Technique (E.T.A.I). Ce témoignage authentique, dessine les enjeux de ce que vont devenir les prémices du fameux nouveau permis motocyclette du début des années 80. J'étais loin de me douter de ce qui allait se passer et surtout du coût que cela représenterait pour passer le permis et pour assurer la moto. Mon choix alors sera déterminant. Beaucoup d'encre aura coulée, de propos contradictoires et de prises de position par médias interposés, à la suite des "runs sauvages"... sur l'ex-circuit de Rungis, et oui, une course y fût organisée par Moto Journal et RTL en 1972, suscitant des vocations le temps d’un congé de fin de semaine. Dès lors un circuit permanent sera la revendication unanime des motocyclistes. Mais les dramatiques accidents successifs dont celui mortel de Carole Le Fol, vont provoquer une vive émotion et l'action des pouvoirs publics. Le ministère de la jeunesse et des sports, la Sécurité Routière, la Fédération Française de Motocyclisme seront mises à l'épreuve après les grandes manifestations nationales des motards qui ne suivront pas les doctrines imposées. Il en sortira une nouvelle forme d’ «autogestion» à la mode au début des années 70 sur le modèle des ouvriers de chez LIP. La création et le développement rapide des Motos-Club «pirates» (non affiliés à la F.F.M.) vont prendre la main et imposer tour à tour un journal, une nouvelle Fédération et enfin une nouvelle assurance dédiée aux motocyclistes. Point d'orgue de la prise de conscience générale des utilisateurs toutes générations confondues...
Jeune cyclomotoriste à la date de cet éditorial, écrit par Christian Rey pour la Revue Moto Technique (E.T.A.I). Ce témoignage authentique, dessine les enjeux de ce que vont devenir les prémices du fameux nouveau permis motocyclette du début des années 80. J'étais loin de me douter de ce qui allait se passer et surtout du coût que cela représenterait pour passer le permis et pour assurer la moto. Mon choix alors sera déterminant. Beaucoup d'encre aura coulée, de propos contradictoires et de prises de position par médias interposés, à la suite des "runs sauvages"... sur l'ex-circuit de Rungis, et oui, une course y fût organisée par Moto Journal et RTL en 1972, suscitant des vocations le temps d’un congé de fin de semaine. Dès lors un circuit permanent sera la revendication unanime des motocyclistes. Mais les dramatiques accidents successifs dont celui mortel de Carole Le Fol, vont provoquer une vive émotion et l'action des pouvoirs publics. Le ministère de la jeunesse et des sports, la Sécurité Routière, la Fédération Française de Motocyclisme seront mises à l'épreuve après les grandes manifestations nationales des motards qui ne suivront pas les doctrines imposées. Il en sortira une nouvelle forme d’ «autogestion» à la mode au début des années 70 sur le modèle des ouvriers de chez LIP. La création et le développement rapide des Motos-Club «pirates» (non affiliés à la F.F.M.) vont prendre la main et imposer tour à tour un journal, une nouvelle Fédération et enfin une nouvelle assurance dédiée aux motocyclistes. Point d'orgue de la prise de conscience générale des utilisateurs toutes générations confondues...
Jeune cyclomotoriste à la date de cet éditorial, écrit par Christian Rey pour la Revue Moto Technique (E.T.A.I). Ce témoignage authentique, dessine les enjeux de ce que vont devenir les prémices du fameux nouveau permis motocyclette du début des années 80. J'étais loin de me douter de ce qui allait se passer et surtout du coût que cela représenterait pour passer le permis et pour assurer la moto. Mon choix alors sera déterminant. Beaucoup d'encre aura coulée, de propos contradictoires et de prises de position par médias interposés, à la suite des "runs sauvages"... sur l'ex-circuit de Rungis, et oui, une course y fût organisée par Moto Journal et RTL en 1972, suscitant des vocations le temps d’un congé de fin de semaine. Dès lors un circuit permanent sera la revendication unanime des motocyclistes. Mais les dramatiques accidents successifs dont celui mortel de Carole Le Fol, vont provoquer une vive émotion et l'action des pouvoirs publics. Le ministère de la jeunesse et des sports, la Sécurité Routière, la Fédération Française de Motocyclisme seront mises à l'épreuve après les grandes manifestations nationales des motards qui ne suivront pas les doctrines imposées. Il en sortira une nouvelle forme d’ «autogestion» à la mode au début des années 70 sur le modèle des ouvriers de chez LIP. La création et le développement rapide des Motos-Club «pirates» (non affiliés à la F.F.M.) vont prendre la main et imposer tour à tour un journal, une nouvelle Fédération et enfin une nouvelle assurance dédiée aux motocyclistes. Point d'orgue de la prise de conscience générale des utilisateurs toutes générations confondues...

Jeune cyclomotoriste à la date de cet éditorial, écrit par Christian Rey pour la Revue Moto Technique (E.T.A.I). Ce témoignage authentique, dessine les enjeux de ce que vont devenir les prémices du fameux nouveau permis motocyclette du début des années 80. J'étais loin de me douter de ce qui allait se passer et surtout du coût que cela représenterait pour passer le permis et pour assurer la moto. Mon choix alors sera déterminant. Beaucoup d'encre aura coulée, de propos contradictoires et de prises de position par médias interposés, à la suite des "runs sauvages"... sur l'ex-circuit de Rungis, et oui, une course y fût organisée par Moto Journal et RTL en 1972, suscitant des vocations le temps d’un congé de fin de semaine. Dès lors un circuit permanent sera la revendication unanime des motocyclistes. Mais les dramatiques accidents successifs dont celui mortel de Carole Le Fol, vont provoquer une vive émotion et l'action des pouvoirs publics. Le ministère de la jeunesse et des sports, la Sécurité Routière, la Fédération Française de Motocyclisme seront mises à l'épreuve après les grandes manifestations nationales des motards qui ne suivront pas les doctrines imposées. Il en sortira une nouvelle forme d’ «autogestion» à la mode au début des années 70 sur le modèle des ouvriers de chez LIP. La création et le développement rapide des Motos-Club «pirates» (non affiliés à la F.F.M.) vont prendre la main et imposer tour à tour un journal, une nouvelle Fédération et enfin une nouvelle assurance dédiée aux motocyclistes. Point d'orgue de la prise de conscience générale des utilisateurs toutes générations confondues...

Voici la moto sur laquelle j'ai passé mes premières leçons de conduite moyenne cylindrée (400). La réforme du permis avait entraîné la multiplication des véhicules-école pour chacune des catégories : 80 – 400 – «gros cubes» supérieurs à 400 cm3. Du coup, la flotte des véhicules coûteuse et pas facile à stationner dans Paris, sans compter les autos, il n’était pas rare que les auto-écoles ne disposaient  que d’une machine disponible et souvent réservée pour l’examen. Bref, comme disait le moniteur «qui peut le plus, peut le moins» alors allons-y. Entre nous, quelle différence cela pouvait -il faire ? Cette machine était agréable, la boîte bien étagée et d’une souplesse qui permettait des rétrogradages sans à-coup.Quant au parcours entre les cônes, grandement facilité. A cette époque, c'était la machine à posséder.
Voici la moto sur laquelle j'ai passé mes premières leçons de conduite moyenne cylindrée (400). La réforme du permis avait entraîné la multiplication des véhicules-école pour chacune des catégories : 80 – 400 – «gros cubes» supérieurs à 400 cm3. Du coup, la flotte des véhicules coûteuse et pas facile à stationner dans Paris, sans compter les autos, il n’était pas rare que les auto-écoles ne disposaient  que d’une machine disponible et souvent réservée pour l’examen. Bref, comme disait le moniteur «qui peut le plus, peut le moins» alors allons-y. Entre nous, quelle différence cela pouvait -il faire ? Cette machine était agréable, la boîte bien étagée et d’une souplesse qui permettait des rétrogradages sans à-coup.Quant au parcours entre les cônes, grandement facilité. A cette époque, c'était la machine à posséder.
Voici la moto sur laquelle j'ai passé mes premières leçons de conduite moyenne cylindrée (400). La réforme du permis avait entraîné la multiplication des véhicules-école pour chacune des catégories : 80 – 400 – «gros cubes» supérieurs à 400 cm3. Du coup, la flotte des véhicules coûteuse et pas facile à stationner dans Paris, sans compter les autos, il n’était pas rare que les auto-écoles ne disposaient  que d’une machine disponible et souvent réservée pour l’examen. Bref, comme disait le moniteur «qui peut le plus, peut le moins» alors allons-y. Entre nous, quelle différence cela pouvait -il faire ? Cette machine était agréable, la boîte bien étagée et d’une souplesse qui permettait des rétrogradages sans à-coup.Quant au parcours entre les cônes, grandement facilité. A cette époque, c'était la machine à posséder.
Voici la moto sur laquelle j'ai passé mes premières leçons de conduite moyenne cylindrée (400). La réforme du permis avait entraîné la multiplication des véhicules-école pour chacune des catégories : 80 – 400 – «gros cubes» supérieurs à 400 cm3. Du coup, la flotte des véhicules coûteuse et pas facile à stationner dans Paris, sans compter les autos, il n’était pas rare que les auto-écoles ne disposaient  que d’une machine disponible et souvent réservée pour l’examen. Bref, comme disait le moniteur «qui peut le plus, peut le moins» alors allons-y. Entre nous, quelle différence cela pouvait -il faire ? Cette machine était agréable, la boîte bien étagée et d’une souplesse qui permettait des rétrogradages sans à-coup.Quant au parcours entre les cônes, grandement facilité. A cette époque, c'était la machine à posséder.
Voici la moto sur laquelle j'ai passé mes premières leçons de conduite moyenne cylindrée (400). La réforme du permis avait entraîné la multiplication des véhicules-école pour chacune des catégories : 80 – 400 – «gros cubes» supérieurs à 400 cm3. Du coup, la flotte des véhicules coûteuse et pas facile à stationner dans Paris, sans compter les autos, il n’était pas rare que les auto-écoles ne disposaient  que d’une machine disponible et souvent réservée pour l’examen. Bref, comme disait le moniteur «qui peut le plus, peut le moins» alors allons-y. Entre nous, quelle différence cela pouvait -il faire ? Cette machine était agréable, la boîte bien étagée et d’une souplesse qui permettait des rétrogradages sans à-coup.Quant au parcours entre les cônes, grandement facilité. A cette époque, c'était la machine à posséder.
Voici la moto sur laquelle j'ai passé mes premières leçons de conduite moyenne cylindrée (400). La réforme du permis avait entraîné la multiplication des véhicules-école pour chacune des catégories : 80 – 400 – «gros cubes» supérieurs à 400 cm3. Du coup, la flotte des véhicules coûteuse et pas facile à stationner dans Paris, sans compter les autos, il n’était pas rare que les auto-écoles ne disposaient  que d’une machine disponible et souvent réservée pour l’examen. Bref, comme disait le moniteur «qui peut le plus, peut le moins» alors allons-y. Entre nous, quelle différence cela pouvait -il faire ? Cette machine était agréable, la boîte bien étagée et d’une souplesse qui permettait des rétrogradages sans à-coup.Quant au parcours entre les cônes, grandement facilité. A cette époque, c'était la machine à posséder.
Voici la moto sur laquelle j'ai passé mes premières leçons de conduite moyenne cylindrée (400). La réforme du permis avait entraîné la multiplication des véhicules-école pour chacune des catégories : 80 – 400 – «gros cubes» supérieurs à 400 cm3. Du coup, la flotte des véhicules coûteuse et pas facile à stationner dans Paris, sans compter les autos, il n’était pas rare que les auto-écoles ne disposaient  que d’une machine disponible et souvent réservée pour l’examen. Bref, comme disait le moniteur «qui peut le plus, peut le moins» alors allons-y. Entre nous, quelle différence cela pouvait -il faire ? Cette machine était agréable, la boîte bien étagée et d’une souplesse qui permettait des rétrogradages sans à-coup.Quant au parcours entre les cônes, grandement facilité. A cette époque, c'était la machine à posséder.

Voici la moto sur laquelle j'ai passé mes premières leçons de conduite moyenne cylindrée (400). La réforme du permis avait entraîné la multiplication des véhicules-école pour chacune des catégories : 80 – 400 – «gros cubes» supérieurs à 400 cm3. Du coup, la flotte des véhicules coûteuse et pas facile à stationner dans Paris, sans compter les autos, il n’était pas rare que les auto-écoles ne disposaient que d’une machine disponible et souvent réservée pour l’examen. Bref, comme disait le moniteur «qui peut le plus, peut le moins» alors allons-y. Entre nous, quelle différence cela pouvait -il faire ? Cette machine était agréable, la boîte bien étagée et d’une souplesse qui permettait des rétrogradages sans à-coup.Quant au parcours entre les cônes, grandement facilité. A cette époque, c'était la machine à posséder.

Ma première "vraie" motocyclette une Yamaha DT 125 MX année modèle 1980 équipée pour l'occasion d'un réservoir "Jumbo" un des copains avait la même machine mais le premier modèle 1977 et l'autre copain avait une Suzuki GT 125 dont les lumières étaient un peu "tapées" tout en conservant les carburateurs et les échappements d'origines et en jouant sur les seuls gicleurs, cette moto était beaucoup plus pointue et prenait plus de tours minutes, donc une vitesse de pointe un peu plus élevée. Mais ça c'est déjà une autre histoire... Ces photographies furent prises au bord de la Nationale 7 en partance de Paris en direction de Sainte-Maxime dans le Var. Un voyage sans aucun problème malgré le chargement.
Ma première "vraie" motocyclette une Yamaha DT 125 MX année modèle 1980 équipée pour l'occasion d'un réservoir "Jumbo" un des copains avait la même machine mais le premier modèle 1977 et l'autre copain avait une Suzuki GT 125 dont les lumières étaient un peu "tapées" tout en conservant les carburateurs et les échappements d'origines et en jouant sur les seuls gicleurs, cette moto était beaucoup plus pointue et prenait plus de tours minutes, donc une vitesse de pointe un peu plus élevée. Mais ça c'est déjà une autre histoire... Ces photographies furent prises au bord de la Nationale 7 en partance de Paris en direction de Sainte-Maxime dans le Var. Un voyage sans aucun problème malgré le chargement.
Ma première "vraie" motocyclette une Yamaha DT 125 MX année modèle 1980 équipée pour l'occasion d'un réservoir "Jumbo" un des copains avait la même machine mais le premier modèle 1977 et l'autre copain avait une Suzuki GT 125 dont les lumières étaient un peu "tapées" tout en conservant les carburateurs et les échappements d'origines et en jouant sur les seuls gicleurs, cette moto était beaucoup plus pointue et prenait plus de tours minutes, donc une vitesse de pointe un peu plus élevée. Mais ça c'est déjà une autre histoire... Ces photographies furent prises au bord de la Nationale 7 en partance de Paris en direction de Sainte-Maxime dans le Var. Un voyage sans aucun problème malgré le chargement.
Ma première "vraie" motocyclette une Yamaha DT 125 MX année modèle 1980 équipée pour l'occasion d'un réservoir "Jumbo" un des copains avait la même machine mais le premier modèle 1977 et l'autre copain avait une Suzuki GT 125 dont les lumières étaient un peu "tapées" tout en conservant les carburateurs et les échappements d'origines et en jouant sur les seuls gicleurs, cette moto était beaucoup plus pointue et prenait plus de tours minutes, donc une vitesse de pointe un peu plus élevée. Mais ça c'est déjà une autre histoire... Ces photographies furent prises au bord de la Nationale 7 en partance de Paris en direction de Sainte-Maxime dans le Var. Un voyage sans aucun problème malgré le chargement.
Ma première "vraie" motocyclette une Yamaha DT 125 MX année modèle 1980 équipée pour l'occasion d'un réservoir "Jumbo" un des copains avait la même machine mais le premier modèle 1977 et l'autre copain avait une Suzuki GT 125 dont les lumières étaient un peu "tapées" tout en conservant les carburateurs et les échappements d'origines et en jouant sur les seuls gicleurs, cette moto était beaucoup plus pointue et prenait plus de tours minutes, donc une vitesse de pointe un peu plus élevée. Mais ça c'est déjà une autre histoire... Ces photographies furent prises au bord de la Nationale 7 en partance de Paris en direction de Sainte-Maxime dans le Var. Un voyage sans aucun problème malgré le chargement.
Ma première "vraie" motocyclette une Yamaha DT 125 MX année modèle 1980 équipée pour l'occasion d'un réservoir "Jumbo" un des copains avait la même machine mais le premier modèle 1977 et l'autre copain avait une Suzuki GT 125 dont les lumières étaient un peu "tapées" tout en conservant les carburateurs et les échappements d'origines et en jouant sur les seuls gicleurs, cette moto était beaucoup plus pointue et prenait plus de tours minutes, donc une vitesse de pointe un peu plus élevée. Mais ça c'est déjà une autre histoire... Ces photographies furent prises au bord de la Nationale 7 en partance de Paris en direction de Sainte-Maxime dans le Var. Un voyage sans aucun problème malgré le chargement.
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Ma première "vraie" motocyclette une Yamaha DT 125 MX année modèle 1980 équipée pour l'occasion d'un réservoir "Jumbo" un des copains avait la même machine mais le premier modèle 1977 et l'autre copain avait une Suzuki GT 125 dont les lumières étaient un peu "tapées" tout en conservant les carburateurs et les échappements d'origines et en jouant sur les seuls gicleurs, cette moto était beaucoup plus pointue et prenait plus de tours minutes, donc une vitesse de pointe un peu plus élevée. Mais ça c'est déjà une autre histoire... Ces photographies furent prises au bord de la Nationale 7 en partance de Paris en direction de Sainte-Maxime dans le Var. Un voyage sans aucun problème malgré le chargement.

Ma première "vraie" motocyclette une Yamaha DT 125 MX année modèle 1980 équipée pour l'occasion d'un réservoir "Jumbo" un des copains avait la même machine mais le premier modèle 1977 et l'autre copain avait une Suzuki GT 125 dont les lumières étaient un peu "tapées" tout en conservant les carburateurs et les échappements d'origines et en jouant sur les seuls gicleurs, cette moto était beaucoup plus pointue et prenait plus de tours minutes, donc une vitesse de pointe un peu plus élevée. Mais ça c'est déjà une autre histoire... Ces photographies furent prises au bord de la Nationale 7 en partance de Paris en direction de Sainte-Maxime dans le Var. Un voyage sans aucun problème malgré le chargement.

je passe en 4 T avec une nouvelle moto, la Yamaha 250 XT année modèle 1981, plus économique en carburant mais beaucoup plus capricieuse au démarrage à froid. Le Calvados, la Haute et la Basse Normandie, la région parisienne et les trajets boulots lui vaudront un fort kilométrage. C'est mon voisin à l'époque qui voulait a tout prix me l'acheter. Je devais lui cédé, un peu plus tard à prix "motard". Elle était "nickel".

je passe en 4 T avec une nouvelle moto, la Yamaha 250 XT année modèle 1981, plus économique en carburant mais beaucoup plus capricieuse au démarrage à froid. Le Calvados, la Haute et la Basse Normandie, la région parisienne et les trajets boulots lui vaudront un fort kilométrage. C'est mon voisin à l'époque qui voulait a tout prix me l'acheter. Je devais lui cédé, un peu plus tard à prix "motard". Elle était "nickel".

Le permis de conduire des motocyclettes en 2016...

Trois permis possibles selon le décret n°2016 - 723 du 31 mai 2016 :

Classés dans l'ordre de la plus faible à la plus grosse cylindrée = Permis A1, Permis A2 et Permis A. La durée de validité pour chacun d'entre eux est de 15 ans.

Pour l'obtention du Permis A1 : Il faut avoir 16 ans, être titulaire de l'ASSR 2 ou bien de l'ASR ou bien être titulaire du permis B depuis au moins 2 ans et suivre une formation obligatoire de 7 heures. Il permet de conduire une motocyclette de 125 cc maximum d'une puissance de 11Kw maximum dont le rapport poids/puissance égale à 0,1KW/Kg avec ou sans side-car à transmission automatique ou manuelle. Un tricycles à moteur à transmission automatique ou manuelle.

Pour l'obtention du Permis A2 : Il faut avoir 18 ans il permet de conduire une motocyclette avec ou sans side-car à transmission automatique ou manuelle d'une puissance de 35KW et d'un rapport Puissance/poids de 0,2KW/Kg maximum. Les véhicules identifiés par le pictogramme "Automatique" (code 78) des permis A ou A2.

Pour l'obtention du Permis A : Il faut être titulaire du permis A2 depuis plus de 2 ans et après avoir suivi une formation obligatoire de 7 heures. Il permet de conduire une motocyclette avec ou sans side-car à transmission automatique ou manuelle. Les véhicules identifiés par le pictogramme "Automatique" (code 78) des permis A ou A2.

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